VOYANCE OLIVIER

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Quand la voix suffit que retourner en mouvement. Elle n’attendait pas de clef. Elle n’était même incertaine de préférer produire. Le numéro était là, noté sur deux ou trois occasions dans un positionnement de carnet. Elle l’avait trouvé au fil de recherches sans but, auquel un moment de trop-plein. Et puis elle avait laissé dégager. Comme généralement. Mais ce jour-là, l’agitation intérieure ne redescendait pas. Ce n’était pas une tragédie, ni une aventure. C’était un excès. Trop de recherches de solutions, à l'infini de tirage, à l'infini de tristesses en guiche. Elle a calligraphié le numéro presque de manière certaine. Pas pour savoir. Pour modérer de assembler. Elle voulait opter autre chose. Pas une combat. Une note différente de celle qu’elle se répétait depuis des semaines. Une voix extérieure, sérieuse relativement claire et nette pour qu’elle soit à même de s’y raccrocher. La voyance par téléphone, elle ne l’avait jamais envisagée par exemple une sincère dévouement. Cela lui paraissait théorique, excessivement direct, incomparablement nébuleux. Mais en raccrochant ce jour-là, elle a su que ce n’était pas le format qui comptait. C’était ce qu’il permettait. Ce qu’elle a entendu, ce n’était pas une prédiction. C’était une voix, stable, posée, qui ne cherchait pas à meubler. Une voix qui écoutait. Qui reformulait. Qui faisait choisir ce qu’elle-même ne savait plus diagnostiquer. Et dans cette écoute, des attributs s’est réorganisé. Pas brusquement. Silencieusement. Un nuage en tant qu' un oreille qui, à la suite une éternité figé dans une peu glorieuse position, se remet auquel dévoiler autrement.

Il n’a pas fallu de nombreuses années. Une vingtaine de minutes. Elle n’a pas raconté toute son histoire. Elle n’a pas offert tous les détails. Ce n’était pas capital. L’essentiel était dans son division. Ce qu’elle traversait était visible pour une personne qui savait percevoir. Et c’est cela qu’elle a admis : non pas une alternative, mais une conscience. C’est ce que la voyance par téléphone permet de temps en temps. Une mise en date extrêmement désinvolte. Une parole qui ne cherche pas laquelle diriger, mais laquelle montrer. Une voix qui ne donne pas d’ordre, mais qui indique. Pas de adultes discours. Un mot, de temps en temps. Et ce mot, s’il est immédiate, suffit lesquelles propager en mouvement. Elle ne s’attendait pas auquel avoir été touchée. Elle avait appelé sans y s'imaginer. Elle aimerait simplement outrepasser du flux intérieur. Mais ce qu’elle a trouvé, c’est une conduite. Non pas un chemin éventuelle. Une navigation intérieure. Une attitude qu’elle pouvait retrouver. Une sphère plus sans ambiguité, même dans le vague. C’est couramment cela, la puissance d’un débit bref. Il n’impose rien. Il ne remplit rien. Il geste place. Il libère. Il réveille un mouvement déjà là, mais retenu. Et ce retour, lequel ce instant immaculé, suffit lesquelles modifier le date, parfois la semaine.

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